





la Russie livre des campagnes de désinformations ,
de » fabriques des opinions » qui s’infiltrent via des médias d’idéologies détenus par des hommes d’affaires affiliés ou en complaisance vis à vis des réseaux de mr poutine , et via des responsables politiques en complaisances avec le régime de ce dernier.
https://www.bbc.com/news/world-europe-62970845
https://www.instagram.com/united24.media/
Mais se diffusent aussi des postures également inquiétantes :
le relativisme…le « campisme » … comme précurseurs du déni ..
postures qui rappellent l’expérience de Milgram sur la soumission à l’autorité, face à une logique inacceptable … https://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
oui toute guerre est atroce , oui en toutes choses l’idéal demeure la paix , mais hélas, la situation est celle là , une guerre d’agression, d’accès aux ressources .. de volonté d’asservissements .. de tortures, de viols collectifs, qui sont des pratiques régulières des forces russes, des femmes violées plus de 15 fois , le long des trajets d’exils , par divers milices russes parfois même devant leurs enfants .. c’est surréaliste mais des témoignages attestent de cela, ( voir tribunal pénal international ) de bombardements d’école, de marchés, d’hôpitaux de maternités , d’immeubles d’habitations ect .. et bien que chacun nous le déplorons .. des solutions demeurent à trouver pour stopper ces déchaînement de barbaries..
Article BBC https://www.bbc.com/news/world-europe-62970845 :
« Les murs pleins de douleur »: les cellules de torture de la Russie en Ukraine 20 septembre 2022
Par Orla Guerin, BBC News, Izyum, Ukraine

Pour les personnes détenues dans les cellules du sous-sol d’une prison russe improvéeblantie de la ville ukrainienne d’Izyum, il y a eu plus d’un type de torture. Les occupants avaient un menu d’abus.
Mykhailo Ivanovych, 67 ans, dit qu’il a vécu la plupart d’entre eux.
MISE EN GARDE : Vous pouvez trouver la description suivante en détresse.
Assis dans un service du principal hôpital de la ville – qui a été gravement endommagé par des bombardements – le retraité raconte les abus qu’il a subis: électrocutions, coups, fractures et aiguilles insérées sous la peau.
Son bras gauche est bandé et dans une élingue. Il est las, mais sa voix est inébranlable.

« Ils m’ont torturé pendant 12 jours », nous dit-il.
« Ils m’ont battu partout. Ils m’ont cassé le bras. Un Russe le tenait et un autre le battait avec un tuyau. Ils m’ont battu au point où je ne ressentais rien. Ils ont utilisé un courant électrique sur le bout des doigts – comment ils ont brûlé. »
Ensuite, il y avait les aiguilles qui lui étaient jetées dans le dos.
« Ils étaient longs, et ils les ont mis sous ma peau ici et ici », dit-il, faisant de l’aile à ses épaules. « J’ai été pris à moitié mort quand nos forces ont libéré cet endroit. »
C’était le 11 septembre, lorsque les forces ukrainiennes ont pris le contrôle de la ville, mettant fin à plus de cinq mois de domination russe. Au cours de l’occupation, les Russes ont utilisé la ville comme embarcation de lancement pour des attaques dans l’est de la région du Donbass, et comme base logistique clé.
Mykhailo a été arrêté avec d’autres personnes soupçonnées de sabotage par les Russes. Les prisonniers ont été cagoulés, partageant les conditions exigus et les abus.
« Tous ceux qui étaient détenus avec moi ont été torturés », dit-il. « Parfois, ils ont pris quelqu’un de leurs cellules deux ou trois fois par jour. J’ai vu quelqu’un être exécuté. Je pense qu’il était mort.
Mykhailo porte une croix autour de son cou au-dessus d’un T-shirt à rayures. Je lui demande s’il a prié pendant son temps dans les cellules. « Bien sûr », répond-il. « J’ai dû prier. N’importe qui prierait là-bas.

Les tortures ont eu lieu au poste de police d’Izyum. Quand nous y entrons, il est dans le désarroi, avec quelques portes manquantes et des fenêtres. Comme une grande partie de l’Izyum, il était bombardé par les Russes avant qu’ils ne prennent la ville.
L’obscurité s’obtient lorsque nous descendons les escaliers à deux étages inférieurs de cellules. La plupart sont petits et nus, à part la litière crasseuse et certains vêtements jetés.
Dans une cellule, quelqu’un a des lignes gravées sur le mur, enregistrant la longueur de leur captivité. Le silence est rompu par un soldat ukrainien.
« Il semble que tous ces murs soient pleins de douleur et de souffrance », dit-il.
Le récit de Mykhailo de la souffrance des décharges électriques fait écho à d’autres témoignages que nous avons entendus récemment dans des zones nouvellement libérées – y compris d’un ancien journaliste appelé Maxim, qui a dit qu’il était détenu dans les mêmes cellules.
« Ils fixent des électrodes et connectent un courant, et vous commencez à secouer », a-t-il déclaré. « Je tombais de la chaise. La douleur était trop forte. C’était noir. Ils nous ont torturés dans l’obscurité totale. Ils avaient des lampes à tête. J’ai demandé à mes camarades de cellule combien de temps j’étais absent, et ils m’ont dit 40 minutes. Je pense que vous vous êtes éteinte après 15 à 20 minutes.
L’Ukraine tient à prouver que la torture de civils – un crime de guerre – était systématique, et non désordonnée. Le président ukrainien, Volodymyr zelensky, a déclaré que « 10 chambres de torture » ont été retrouvées ces derniers jours dans des régions de la province de Kharkiv reprises par les forces ukrainiennes.
À une courte distance de la prison, nous trouvons les enquêteurs au travail, en train de peigner un immeuble de bureaux endommagé utilisé par les Russes comme centre de commandement. Nous sommes autorisés à entrer, en portant des revêtements de protection sur nos chaussures, et des masques faciaux, donc nous ne dérangeons pas les preuves.
Un panneau disant « police » en russe continue de culminer sur la porte. À l’intérieur d’un bureau se trouve une édition humbrée d’un quotidien russe.
L’investigateur principal Leonid Pustovit – portant une combinaison de protection blanche – a fait une sombre découverte. Il ouvre un tiroir pour nous montrer une hache portant des traces de ce qui ressemble au sang.
« Notre enquête révélera de qui c’est le sang », nous dit-il.

Il a également trouvé une liste de surveillance tenue par les Russes, avec des noms de ceux qui soutiendra le gouvernement ukrainien. « Ils ont été appelés ‘celes avec des opinions extrémistes’ », dit-il. « Ils les ont amenés ici et les ont interrogés. Ils ont été maintenus sur une courte laisse. «
Cette ville brisée commence tout juste à raconter ses histoires et à révéler combien de victimes les Russes ont laissés derrière eux.
Dans une forêt de pins en bordure de la ville, les équipes médico-légales continuent d’exhumer des restes humains de plus de 440 tombes. Les autorités disent que les morts sont pour la plupart des civils, mais une tombe contenait les corps de 17 soldats, dont certains avaient les mains liées et les signes de torture.

Le procureur régional nous a dit que les Russes avaient tué presque tous ceux qui étaient enterrés ici – d’une manière ou d’une autre – y compris par balle, bombardements ou frappes aériennes.
Alors que les travailleurs d’urgence emportent des restes dans un sac en corps blanc, Olena Kazabekhov regarde, pris entre espoir et peur. Elle est venue à la recherche de son père, Petro Vasylchyshyn, qui a servi avec le 95e bataillon aéroporté d’Ukraine. La jeune femme est larmoyante, appuyée sur son mari Yurii pour le soutien.
« Le dernier appel téléphonique que nous avions eu était le 17 avril », nous dit-il. « Le lendemain, ils se sont déplacés en première ligne, et beaucoup de son unité ont disparu. Nous savons que cinq ont été tués. Leurs corps ont été trouvés par une autre unité.
Tormentés par des questions restées sans réponse, Yurii dit qu’ils sont presque envieux de ceux qui au moins ont encore à enterrer.
« Nous savons que les familles se trouvaient dans la même situation que nous aujourd’hui, mais elles ont trouvé les corps, et elles sont – c’est difficile à décrire – plus heureux que nous, parce qu’au moins ils les ont trouvés. »

Jusqu’à présent, l’armée reste d’une déforestation dans la forêt sont des soldats d’une brigade différente de celle de son beau-père, de sorte que lui et Olena pourraient avoir à fouiller ailleurs. Pour d’autres, les exhumations ont déjà fourni des réponses.
Une photo largement publiée du site d’inhumation a montré une main en décomposition avec des bandes bleues et jaunes autour du poignet – les couleurs du drapeau de l’Ukraine. Une marque rougeâtre était à peine visible en dessous.
Selon une déclaration sur la page Facebook de la 93e brigade mécanisée de l’Ukraine, ils étaient les restes d’un soldat appelé Serhiy Sova. Quand sa femme Oksana a vu la photo, elle a reconnu le tatouage sur son poignet.
Izyum est maintenant une ville avec de profondes cicatrices. Dans toutes les directions, il y a des bâtiments brûlés et battus. Les rues sont en grande partie sans vie. C’est comme si les habitants qui ont survécu au bombardement et à l’occupation ont toujours peur de sortir.
Une poignée de rassemblement dans une place ensoleillée dans le centre-ville pour recueillir une aide à la distribution à l’arrière d’une camionnette – juste de petits sacs d’articles nus essentiels. Dasha, 25 ans, est parmi eux, avec un jeune homme de six ans appelé Tim. Elle raconte les épreuves de ces derniers mois, alors qu’il poursuit autour des buissons.
« Nous avons cuisiné dehors », dit-elle. « Le camion de pompiers a apporté l’eau de la rivière, mais nous n’avions pas d’eau potable. Nous sommes allés chercher des puits pour que nous ayons de l’eau à boire. Tim avait peur de dormir seul. Il secoua et fit des cauchemars. Le plus dur était de ne pas savoir ce que demain apporterait.
BBC lien de l’article , ici dupliqué, Source et auteurs Article : https://www.bbc.com/news/world-europe-62970845
https://svidomi.in.ua/en/page/russia-illegally-detains-25000-kremlin-prisoners_20_06
La Russie détient illégalement 25 000 prisonniers du Kremlin Svidomi.in.ua
Auteur :Anastasiia Kondrat 20 juin 2024 17:30
Selon le Commissaire du Parlement ukrainien aux droits de l’homme, Dmytro Lubinets, il s’agit du nombre de civils enlevés par la Fédération de Russie.
Le Centre des droits de l’homme de l’AMINA a constaté qu’au moins 21 détenus avaient besoin de soins médicaux d’urgence et qu’ils ne les mourraient pas.
Au cours de l’invasion à grande échelle, la Police nationale a commencé à enquêter sur la disparition forcée de 8 800 personnes. La Défenseur des enfants de la Fédération de Russie, Maria Lvova-Belova, affirme que la Russie a illégalement enlevé plus de 700 000 enfants en Ukraine.
L’Initiative des médias pour les droits de l’homme a identifié une centaine de lieux où sont détenus des civils enlevés.
La mission du Président de la République d’Ukraine en République autonome de Crimée confirme 218 citoyens ukrainiens illégalement emprisonnés, dont 133 sont Q’r’marttarlar.
Au cours de la guerre à grande échelle, 3 135 citoyens ukrainiens ont été renvoyés en Ukraine, dont 150 civils.
La Cour suprême de Russie confirme la condamnation de Vadym Bektemirov
La Cour suprême de Russie a examiné un pourvoi en cassation et a confirmé les décisions des tribunaux dans les affaires antérieures dans l’affaire Vadym Bektemirov, accusée dans l’affaire des musulmans de Crimée.
Rapports de Solidarno-Crimée.

Le 11 février, le tribunal militaire du district sud de Rostov-sur-le-Don a annoncé le verdict prononcé contre les prisonniers politiques tatars de Crimée, M. Muratov et M. Bektemirov, les condamnant respectivement à 11,5 et 11 ans de prison pour leur appartenance à une organisation terroriste.
Au cours du 7 juillet 2020, les zekiria Muratov et Vadym Bektemirov ont été arrêtés lors d’une autre vague de perquisitions menées par les forces de sécurité russes en Crimée occupée (Qurem). Au cours des perquisitions, les forces de sécurité ont planté de la littérature interdite, qui a par la suite été saisie en tant que prétendue « preuve » de l’implication des détenus dans l’organisation Hizb ut-Tahrir.
Le tribunal a étendu la mesure de contrainte à six militants tatars de Crimée. Ils resteront dans un centre de détention provisoire jusqu’en novembre.
Le tribunal militaire de district sud a prolongé la durée de la détention pour les militants du « cinquième Ba’çasaray » dans l’affaire Hizb ut-Tahrir. Seidamet Mustafaiev, Remzi Nimetulaiev, Abdulmedzhyt Seitumerov, Ametkhan Umerov, Ruslan Asanov et Eldar Yakubov resteront dans le centre de détention provisoire jusqu’au 24 novembre 2024.
Rapports de Solidarno-Crimée.

Le tribunal a rejeté toutes les requêtes de la défense, en particulier pour renvoyer l’affaire au procureur, et n’a pas tenu compte des arguments de la défense sur la mesure de contrainte préalable au procès pour les militants et les a laissés en détention à la demande du procureur.
Le 24 août 2023, à quatre heures du matin, des officiers russes du FSS ont fouillé les maisons de six Tatars de Crimée – Seidamet Mustafaiev, Eldar Yakubov, Abdulmedzhyt Seitumerov, Ruslan Asanov, Ametkhan Umerov et Remzi Nimetulaiev. Ils ont été arrêtés à plusieurs reprises lors de rassemblements pour soutenir d’autres Tatars de Crimée arrêtés.
Employés du centre de détention no 1 de Rostov, un prisonnier politique commis d’abus Ekrem Krosh
Un membre du groupe du « deuxième Cankoy » du Hizb ut-Tahrir, Ekrem Krosh, a fait état de violences de la part des gardiens du centre de détention No. 1 à Rostov-sur-le-Don.
La Solidarité Crimée rapporte qu’elle cite l’avocat du prisonnier politique, Oleksii Ladin.

La violence a été utilisée sans raison. Elle a probablement été causée par la prise du centre de détention par les prisonniers le 16 juin. À ce moment-là, le centre de détention a été fouillé et le personnel et les prisonniers ont été interrogés. Ekrem Krosh a signalé les violences dans le cadre du protocole de la session du tribunal.
« À l’avenir, la défense va donner son évaluation [de l’incident) et prendre un certain nombre de mesures de procédure pour traduire les auteurs en justice », a déclaré Oleksii Ladin, selon la Dolidarité.
Il a ajouté que la violence n’était utilisée que contre Ekrem Krosh. Les autres participants à l’affaire n’ont pas été blessés. Tous ont rapporté se sentir « plus ou moins bien ».
Les résidents de Berdiansk jugés illégalement à Rostov pour « terrorisme » présumés n’ont pas pleinement accès aux avocats
Le tribunal militaire du district sud de Rostov-sur-le-Don a continué d’examiner le cas du meurtre du soi-disant «chef adjoint de la police de la circulation» dans Berdiansk occupé, Aleksandr Kolesnikov, et de la tentative d’assassinat du » commandant militaire », Artem Bardin, et du chef adjoint de l’administration de l’occupation, Pavel Ishchuk. Les accusés dans cette affaire sont les Ukrainiens Domenienko, Artur Shashenko et Oleksii Makarenko, qui n’ont pas la possibilité de communiquer avec leurs avocats.
The Memorial Society rapporte.

Le tribunal de Rostov aurait reçu une déclaration de Damian Omelianenko et Artur Shashenko demandant à participer au procès par vidéoconférence.
Au cours d’une audience régulière le 22 mai 2024, l’avocat de Damian a exprimé des doutes quant à l’écriture des demandes par son client personnellement. Les avocats de la défense des autres défendeurs ont déclaré qu’il était très difficile d’organiser une vidéoconférence complète pendant les auditions.
Les accusés sont inculpés en vertu d’articles particulièrement graves qui prévoient une peine pouvant aller jusqu’à la réclusion à perpétuité. Tous les obstacles à la communication entre l’avocat et l’accusé doivent être levés, expliquent les militants des droits de l’homme.
Malgré les allégations de la défense selon lesquelles les audiences à distance étaient inacceptables, le jury a organisé une vidéoconférence avec les accusés au cours du procès. Cela signifie que les Ukrainiens n’ont pas été amenés dans la salle d’audience.
Le collège de juges russe a également examiné la demande d’Omelianenko tendant à se voir accorder le statut de prisonnier de guerre, de mettre fin aux poursuites pénales et d’être transféré dans un centre de détention militaire spécial. Cette motion a également été rejetée.
À la demande de l’accusation, les accusés Makarenko, Omelianenko et Shashenko ont été prolongés de trois mois supplémentaires.
Éditeur:Anastasia boulangerie Illustre:Vira Buriak Traducteur:Oleksandra Sobol https://svidomi.in.ua/en/page/russia-illegally-detains-25000-kremlin-prisoners_20_06
Presses :
Nous avons toujours peur… il n’y a pas de victoire certaine
Dasha
Résident d’Izyum
Les Russes sont peut-être partis, mais elle n’est toujours pas sûr de ce qui nous attend.
« Nous avons toujours peur », dit-elle. « Nous ne savons pas si nous serons en sécurité à plus long terme. Les actions militaires se poursuivent et il n’y a pas de victoire certaine. Nous espérons et prions pour un ciel paisible et pour un avenir radieux pour nos enfants. «
Ayant repris tant de territoires si rapidement, l’Ukraine doit maintenant le sécuriser. Ces derniers jours, nous avons vu des convois de chars et de troupes, nous nous précipitons pour combler les lacunes, et parfois entendu des tirs à l’arrivée.
Le président dit que ce n’est pas une accalmie, mais la préparation des batailles à venir. « C’est la préparation de la séquence suivante », dit-il, « parce que l’Ukraine doit être libre, tout ça. »
Dasha a une phrase différente pour la situation actuelle. « C’est de la glace mince », dit-elle.


La guerre en Ukraine: plus de couverture
- ANALYSE : Qui gagne la guerre en Ukraine ?
- SUR LE ROTIF : Quelles armes sont fournies à l’Ukraine?
- En savoir plus : Couverture complète de la crise
https://www.hrw.org/fr/news/2023/04/13/ukraine-enquete-sur-un-centre-de-torture-russe-kherson
Les forces russes ont illégalement détenu et torturé des civils pendant les huit mois d’occupation
https://rsf.org/fr/pays-ukraine
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Sur la photo, Roman Vasilievich Gorilik, il est rentré chez lui le 31 mai 2024 lors de l’échange de prisonniers de guerre.
Roman est le superviseur principal des points de contrôle pour la protection de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Les russes l’ont littéralement pris en otage ainsi que les 168 autres gardes nationaux qui gardaient la centrale nucléaire de Tchernobyl et l’ont fait sortir d’Ukraine via la Biélorussie en mars 2022.
89 d’entre eux sont toujours détenus et la partie russe les utilise pour les échanger contre des militaires russes capturés au combat.
C’est un spectacle très effrayant. Voilà à quoi ressemblaient les prisonniers des camps nazis.
Source: Andreï Tsaplienko

Concernant l’Ukraine ,, un pays envahi,des populations massacrées, torturées,tant d’horreurs ….
pourquoi certains partis politique soutiennent encore la » non assistance à populations en dangers » ? Pourquoi autant de discours de dénis ?
pourquoi autant d’adhésions à des partis de droites extrêmes dont les liens directs avec poutine sont prouvés ?

https://www.theguardian.com/news/audio/2024/may/22/inside-kharkiv-as-russia-advances-podcast
https://www.touteleurope.eu/institutions/soupcons-d-ingerence-russe-des-perquisitions-visant-un-assistant-parlementaire-francais-menees-au-parlement-europeen/
Le procureur belge déclare que le collaborateur visé a joué un « rôle important » dans une opération de propagande russe présumée qui a infiltré le Parlement européen.
Les polices bruxelloise et française ont effectué une série de perquisitions simultanées dans les bureaux du Parlement européen à Bruxelles et à Strasbourg, ainsi qu’au domicile d’un collaborateur parlementaire dans le quartier belge de Schaerbeek, mercredi matin.
Ces perquisitions s’inscrivent dans le cadre d’une vaste enquête sur une opération d’influence russe soupçonnée d’avoir payé des députés européens en exercice pour diffuser de la propagande pro-Kremlin depuis le cœur des institutions européennes à Bruxelles.
Le procureur belge, qui a ordonné les perquisitions de mercredi, a déclaré qu’il existait des « indications » selon lesquelles l’employé du Parlement en question a joué un « rôle significatif » dans l’opération de propagande russe, confirmant que la perquisition est liée à une affaire d’ »ingérence, de corruption passive et d’appartenance à une organisation criminelle ».
Il n’a pas été possible de déterminer immédiatement le poste occupé par l’employé au sein du Parlement, ni s’il travaille directement pour l’un des législateurs élus du Parlement.
Interrogé par Euronews, le service de presse du Parlement européen a déclaré : « Nous ne pouvons pas commenter les enquêtes en cours ».
« Le Parlement européen coopère pleinement avec les forces de l’ordre et les autorités judiciaires afin de faciliter le cours de la justice et continuera à le faire si on le lui demande. C’est dans ce contexte que l’accès à un bureau a été accordé », ajoute la déclaration.
Cette perquisition est le dernier développement en date d’une enquête en cours sur la société d’information néerlandaise Voice of Europe, sanctionnée par l’Union européenne au début du mois pour avoir colporté la propagande du Kremlin.
La société d’information prétendait fournir des « informations non censurées sur l’Europe et le monde » et, pas plus tard qu’en mars dernier, elle a organisé des interviews et des débats en tête-à-tête avec des députés européens en exercice, diffusés depuis le Parlement européen à Bruxelles et à Strasbourg.
Fin mars, les autorités tchèques ont annoncé qu’elles avaient démantelé une opération d’influence russe menée par l’intermédiaire de Voice of Europe, alléguant que des transactions financières avaient été effectuées en faveur de représentants élus au Parlement européen et dans les parlements nationaux.
Selon les médias tchèques citant des responsables des services de renseignement, les allégations concernent des hommes politiques d’Allemagne, de France, de Pologne, de Belgique, des Pays-Bas et de Hongrie.
L’un des députés européens interrogés par ces soi-disant médias est Anders Vistisen, qui représente le groupe d’extrême droite du Parlement européen, Identité et Démocratie (ID), dans les débats précédant les élections européennes de juin.
Interrogé par euronews au début du mois pour savoir s’il avait été payé pour cette interview, Anders Vistisen a fermement démenti: « Non, bien sûr que non. Cette interview a été organisée dans les mêmes conditions que celle-ci. On m’a demandé de donner une interview et je l’ai fait. C’est mon travail en tant qu’homme politique ».
L’eurodéputé Maximilian Krah – dont le parti Alternative pour l’Allemagne (AfD) a récemment été expulsé de sa famille européenne après avoir fait des commentaires nazis accablants à un journal italien – a également balayé ses liens avec Voice of Europe, affirmant que bien qu’il ait donné des interviews à la société, il n’en avait pas bénéficié financièrement.
« Il n’y a aucune allégation spécifique selon laquelle j’aurais été payé pour l’une ou l’autre de ces interviews », a déclaré M. Krah sur X. « Cela montre ce qu’il faut penser de la campagne actuelle : Rien ! »
L’assistant de M. Krah a depuis été arrêté, soupçonné d’espionnage au profit de la Chine.
Le dernier développement de l’enquête intervient quelques jours avant que les quelque 370 millions d’électeurs de l’UE ne se rendent aux urnes pour élire les nouveaux membres du Parlement européen, lors d’un scrutin dont on craint beaucoup qu’il ne soit la cible de l’ingérence du Kremlin. » Article de : https://fr.euronews.com/my-europe/2024/05/29/enquete-sur-linfluence-russe-perquisition-au-parlement-europeen-un-collaborateur-suspecte
. suite de l’édito polipress :
des partis d’extrêmes droites inféodés à Poutine .
https://www.cairn.info/revue-cites-2023-1-page-113.htm
https://meduza.io/en
https://www.hrw.org/fr/news/2023/04/13/ukraine-enquete-sur-un-centre-de-torture-russe-kherson

Ukraine : 16 sources fiables pour suivre la guerre loin des fake news – WE DEMAIN
en Europe , en France, des partis qui gardent une étrange complaisance vis à vis de la Russie de poutine ..
En Europe , des responsables politiques adoptent d’ étranges relativismes quant au fait de soutenir ou non la résistance du peuple ukrainien .. .
Trop d’exemples aujourd’hui de ces » relativismes » face à une guerre pourtant prouvée comme atroce , aux moyens disproportionnés pour les forces d’invasions et des conditions de plus en plus précaires pour le pays envahi , avec des actes de tortures innombrables et intolérables …
plus l’aide sera égrenée et insuffisante plus il y aura de destructions et d’innocents tués ..plus longtemps la guerre dure plus longtemps les horreurs se commettent ..
mais on assiste à des postures idéologiques qui tendent à » relativiser » l inacceptable .. ..Des postures qui rappellent la non intervention lors de la guerre d’Espagne. :
la non intervention concernant la guerre d’Espagne 1936
les accords de Munich 1938
où face la montée des fascistes et des nazis, nombres de postures politique d’alors, évoquaient de » choisir la paix » en faisant des concessions à l’Allemagne d’hitler afin de préserver les conditions de la paix …
une suite de décisions qui n’ont fait que renforcer les moyens industriels, militaires, logistiques et inter opérationnel des armées de l Allemagne de Hitler et de l Italie de Mussolini ,
la non intervention de la France concernant la guerre d’Espagne à permis à deux pays agresseurs et assassins de massacrer plus d’un millions de civils et résistants républicains ..tout en ayant la garantie de passivités des pays voisins ..
1938 les accords de Munich permettent aux forces de l’Axe de se doter de moyens industriels supplémentaires , d’usines de qualités .
les slogans d’alors répétaient à longueurs de temps, » Choisir la paix »
Aujourd’hui nous entendons ces mêmes arguments, » choisir la paix »
proposer des » négociations pour la paix » dans l’optique d’offrir ce même genres de » concessions » à un pays agresseur .
» négocier pour sauver la paix » .
intentions louables certes , mais difficilement réalisables sous un déluge de bombes avec des armées de mercenaires assassins , reproduisant leurs modèles de guerre et d’expériences de leurs opérations passées , en Syrie, sur continent Afrique , comment prôner de pouvoir » négocier » avec des groupes paramilitaires mercenaires et criminels de guerres ?
ces décisions de passivités ne font hélas, que renforcer les capacités de nuisances et de destructions d’un pays au régime ouvertement criminel depuis plus de 25 ans …
Aujourd’hui concernant la guerre d’Ukraine.. face aux atrocités , nous voyons se dérouler la propagande pro poutine mais aussi , à gauche , un » campisme » étrange… face aux nombreuses preuves depuis plus de Vingt ans , des agissements du régime de mr Poutine.
( il ne s’agit pas d’absoudre les horreurs commises par les U.S.A pour autant, mais d’éviter de tomber dans un » campisme » excusant ou oubliant l’inacceptable )
( l’opération » Condore » comme le « printemps de Prague »,
Afghanistan,Vietnam,Corée…)
les politiques étrangères de ces deux empires , furent , également ignobles, cruelles…
Commençons par sortir de ces logique de » campisme ». Ph.T

https://www.cairn.info/revue-cites-2023-1.htm
https://www.cairn.info/revue-cites-2023-1-page-113.htm
En 1939, les futurs « collabos » refusaient de « Mourir pour Dantzig ». Mieux valait préserver la paix et laisser Hitler conquérir quelques territoires polonais. Aujourd’hui, ce n’est plus « Mourir pour Dantzig » qui pose problème, mais « Payer la facture de gaz pour Boutcha ». L’année précédant le fameux éditorial de Marcel Déat, lors des accords de Munich (1938), les démocraties occidentales avaient laissé Hitler, au nom de la paix à tout prix, dépecer la Tchécoslovaquie pour rattacher au Reich une population germanophone. Un peu comme Poutine qui veut « libérer » les russophones du Donbass du régime « nazi » ukrainien, Hitler voulait « libérer les Allemands des Sudètes » de « l’oppression tchécoslovaque ». Ensuite, jurait Hitler, il n’aurait plus de revendications et l’Europe connaîtrait la paix « pour mille ans ». Ces pacifistes à tout prix seront qualifiés de « Munichois » et l’histoire nous a enseigné qu’il aurait mieux valu arrêter Hitler en 1938. Comme Déat, toute une génération d’intellectuels et d’hommes politiques français deviendront des « collaborateurs ». Certains venaient de la gauche, d’autres de la droite ultra-nationaliste. La question qui se pose ici : comment des nationalistes de droite, pour qui la défense de la nation est la suprême valeur, ont-ils pu se mettre au service de la collaboration avec un régime ennemi de la France et donc trahir leur pays ? L’histoire semble se répéter aujourd’hui avec la Russie de Poutine, où une grande partie de l’extrême droite française et européenne, qui se revendique comme « patriote », semble prête à se faire le relai des intérêts stratégiques de la Russie de Poutine contre les démocraties occidentales…https://www.cairn.info/revue-cites-2023-1-page-113.htm
https://www.mediapart.fr/journal/international/300524/soupcons-d-ingerence-russe-au-parlement-europeen-un-ancien-assistant-du-rn-dans-le-viseur
https://www.francetvinfo.fr/politique/front-national/politique-quels-sont-les-liens-entre-le-rn-et-la-russie_6423334.html
Euromaidan Press: Ukrainian News in English, News from Ukraine
documentaire Winter on Fire : https://youtu.be/yzNxLzFfR5w?si=nDxZNpiKelAjzI6D
https://www.theguardian.com/world/article/2024/may/26/ukraine-war-briefing-zelenskiy-calls-for-more-air-defences-after-deadly-strike-on-kharkiv-store
https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/entrevue/69525/printemps-de-prague-invasion-tchecoslovaquie-union-sovietique-urss-andre-champagne
https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/entrevue/382443/operation-condor-amerique-latine-chili
Article du journal Lemonde.fr Marc Semo: https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/05/22/le-campisme-ou-choisir-son-camp-dans-un-monde-divise_6234892_3232.html
« Le « campisme », ou choisir son camp dans un monde divisé
Née à l’époque de la guerre froide, la notion de « campisme » revient dans le débat public à la faveur de l’invasion de l’Ukraine par la Russie et de la guerre Israël-Hamas.
- Par Marc Semo
- Histoire d’une notion. Il était une fois un « camp socialiste » dominé par l’Union soviétique qui s’opposait à un monde capitaliste dirigé par les Etats-Unis. C’est à l’époque de la guerre froide, entre 1947 et 1989, que s’est forgé le « campisme » dans un monde divisé en blocs antagonistes fondés sur la rivalité entre les deux superpuissances. La notion était portée par le mouvement communiste et ses compagnons de route. Impérativement, il fallait choisir son camp – à savoir être du côté des forces de progrès et du « socialisme réellement existant » tel qu’il s’incarnait dans la politique du grand parti frère soviétique – ou au contraire devenir un fourrier de la réaction et de l’impérialisme américain.
- Mais le campisme pouvait aussi être de droite et se condensait dans la célèbre formule « my country, right or wrong », que l’on peut traduire par « mon pays, à tort ou à raison ». Les Etats-Unis soutenaient ainsi sans états d’âme des dictateurs sanguinaires et corrompus s’ils étaient dans le bon camp de la lutte contre le communisme. Une citation apocryphe met ainsi dans la bouche d’un président américain – le plus souvent Dwight Eisenhower – le propos suivant : « C’est peut-être un fils de p…, mais c’est notre fils de p… »
- Si le camp socialiste a disparu avec l’effondrement de l’Union soviétique, le « campisme », lui, a survécu. Mieux, la notion revient dans le débat public et semble même prospérer. L’invasion russe de l’Ukraine et la volonté commune, de Moscou comme de Pékin, de remettre en question la domination occidentale du monde, relance une logique de blocs. Avec la guerre israélienne à Gaza, en réponse aux attaques du Hamas du 7 octobre 2023, la polarisation s’est encore accentuée.
Diplomatie transactionnelle
- C’est vrai sur la scène politique intérieure autant que dans l’arène internationale, même s’il n’y a pas de camps aussi structurés qu’ils pouvaient l’être aux moments les plus intenses de la guerre froide. Les pays de ce que l’on appelle le « Sud global » cultivent en effet volontiers un multi-alignement et une diplomatie transactionnelle en fonction de leurs intérêts spécifiques à un moment donné.
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Le « campisme » se fonde sur une vision hémiplégique d’un monde en noir et blanc. Dans toute crise, on rallie automatiquement son camp sans prendre en compte la singularité de l’événement. A gauche, le campisme a pris une nouvelle forme : .( suite non affichée , … ) Article du journal Lemonde.fr Marc Semo: https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/05/22/le-campisme-ou-choisir-son-camp-dans-un-monde-divise_6234892_3232.html
documentaire Winter on Fire : https://youtu.be/yzNxLzFfR5w?si=nDxZNpiKelAjzI6D
https://www.ukrinform.fr/rubric-ato/3585135-ukraine-un-medecin-tue-et-une-infirmiere-blessee-dans-une-frappe-russe-contre-lhopital-de-koupiansk.html
https://www.theguardian.com/commentisfree/article/2024/may/22/kharkiv-betrayed-west-ukraine-russia-war



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https://www.liberation.fr/planete/2014/07/11/est-de-l-ukraine-amnesty-denonce-des-cas-de-tortures-et-d-enlevements_1061851/
par AFP
publié le 11 juillet 2014 à 10h05
L’ONG Amnesty International a dénoncé vendredi la multiplication de cas de tortures et d’enlèvements visant principalement les militants pro-Kiev dans l’est de l’Ukraine, en proie à une insurrection armée prorusse.
«Des centaines de personnes ont été enlevées ces trois derniers mois», a déclaré Denis Krivocheïev, directeur d’Amnesty chargé de l’Europe et d’Asie centrale.
«La plupart des enlèvements sont commis par des séparatistes armés et les victimes subissent souvent des tortures. Il y a des cas signalés d’arbitraire du côté des troupes loyalistes, mais ils sont moins nombreux», a-t-il souligné dans un communiqué de l’organisation de défense des droits de l’homme.
Selon le ministère ukrainien de l’Intérieur, près de 500 personnes ont été enlevées dans l’est entre avril et juin. L’ONU a de son côté répertorié 222 cas d’enlèvements, souligne Amnesty. Il s’agit de militants, hommes politiques, journalistes, entrepreneurs, membres des commissions électorales locales ainsi que des militaires et policiers.
«Au fur et à mesure que les troupes pro-Kiev reprennent le contrôle de Slaviansk, Kramatorsk (bastions des séparatistes prorusses, ndlr) et autres localités dans l’est de l’Ukraine, de nouveaux captifs sont libérés et de nouveau cas inquiétants se révèlent», indique Amnesty.
«On m’a cassé le visage»
Anna, une militante pro-ukrainienne a été retenue en otage pendant six jours au cours desquels elle a été frappée et blessée à coups de couteau par ses ravisseurs qui l’ont contrainte à écrire avec son sang un slogan séparatiste.
«On m’a cassé le visage à coups de poing. J’essayais de me couvrir, il s’est enragé, est parti et est revenu avec un couteau», a témoigné cette femme dont le nom de famille n’est pas révélé.
Un autre militant pro-ukrainien, Sacha, 19 ans, s’est enfui à Kiev après avoir été retenu en otage et torturé par des séparatistes à Lougansk.
«Ils me frappaient avec des poings, avec une chaise, ils éteignaient leurs cigarettes sur ma jambe et m’électrocutaient. Cela a duré si longtemps que j’ai fini par ne plus rien sentir, j’ai perdu connaissance», a-t-il raconté. Il a été libéré après que son père a payé une rançon de 60 000 dollars.
Amnesty rapporte également des exemples de tortures infligées par des troupes loyalistes à Marioupol, port du sud-est de l’Ukraine, notamment à l’encontre d’un jeune homme de 16 ans qui a publié sur l’internet des images d’une opération militaire ukrainienne.
https://www.bbc.com/news/world-europe-62970845
https://www.hrw.org/fr/video-photos/video/2022/10/19/ukraine-torture-izioum-sous-loccupation-russe

https://www.hrw.org/fr/video-photos/video/2022/10/19/ukraine-torture-izioum-sous-loccupation-russe

Source de l’image :
https://edition.cnn.com/interactive/2022/03/europe/ukraine-war-before-after-photos-towns/
https://solidarite-accueil-refugies-ukrainiens.fr/
Pourquoi ce silence Européen ?

( winter one fire, 2014 , mercenaire wagner , sniper , tirant sur les manifestants , Kiev , 2014 )
provenant du site MEDUZA :
https://meduza.io/en/feature/2024/05/14/we-left-russia-but-putinism-followed-us
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Meduza
https://meduza.io/en/feature/2024/05/14/we-left-russia-but-putinism-followed-us
https://edition.cnn.com/interactive/2022/03/europe/ukraine-war-before-after-photos-towns/

https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2024/03/russia-ukraine-icc-issues-arrest-warrants-for-top-russian-commanders-for-alleged-war-crimes-and-crimes-against-humanity/
https://www.icrc.org/fr/ou-nous-intervenons/europe-central-asia/ukraine
https://rsf.org/fr/pays-ukraine
https://www.theguardian.com/world/ukraine
https://www.sciencespo.fr/ceri/fr/content/ukraine-les-principaux-enjeux-de-la-vie-politique-depuis-la-revolution-orange

manifestants tués par balles réelles , par mercenaires pro russe Ukraine 2014.



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